3ème jour de course
Des nouvelles fraiches de notre rameur préféré que nous avons eu en communication vers 19h ce soir.
La phase d'amarinage a l'air de se terminer et le mal de mer dont souffrait Jean Luc s'estompe. Il était à la latitude du fameux cap des Almadies, pointe la plus occidentale d'Afrique, tant redoutée par les rameurs et dont il faut suffisamment s'éloigner pour être certain que les vents ne les ramèneront pas à la côte. Au moment de la vacation téléphonique, Jean Luc en était éloigné de 6 milles nautiques, distance suffisante pour être à l'abri d'un échouage involontaire. Il venait de s'octroyer 2 heures de repos et s'apprêtait à reprendre les avirons pour une petite nav de nuit. Le vent est toujours orienté au nord avec une petite composante ouest et Jean Luc attend impatiemment qu'il tourne à l'est, ce qui n'est pas prévu avant demain midi.
Une autre rencontre avec une pirogue de pêcheurs s'est moins bien passée qu'hier, puisque l'embarcation en s'approchant un peu trop près a endommagé un aviron. Il est toujours fonctionnel mais il se délamine et Jean Luc pense qu'il ne tiendra pas toute la traversée. Il a heureusement 2 paires de rechange, mais c'est rageant d'en casser un aussi bêtement le 3ème jour de course. L'intention des pêcheurs était pourtant sympatique puisqu'ils venaient proposer du thon fraichement pêché.
D'autre par, sont gilet de sauvetage à gonflage automatique, qu'il atoujours sur lui s'est gonflé de manière intempestive. Jean luc à du le dégonfler et se mettre à la recherche de la petite capsule d'air comprimé de rechange, pour le rendre à nouveau opérationnel. Il a de toute manière embarqué un autre gilet en mousse celui ci.
Coté classement, Jean Luc est officiellement 8ème, mais 4 des concurrents qui sont devant lui ont été remorqués. Patrick Favre qui n'était pas localisé depuis le départ, est enfin apparu magiquement dans le classement... largement en tête et très décalé dans l'ouest. De quoi prendre un bel ascendant moral sur ses concurrents directs.
Didier.
La phase d'amarinage a l'air de se terminer et le mal de mer dont souffrait Jean Luc s'estompe. Il était à la latitude du fameux cap des Almadies, pointe la plus occidentale d'Afrique, tant redoutée par les rameurs et dont il faut suffisamment s'éloigner pour être certain que les vents ne les ramèneront pas à la côte. Au moment de la vacation téléphonique, Jean Luc en était éloigné de 6 milles nautiques, distance suffisante pour être à l'abri d'un échouage involontaire. Il venait de s'octroyer 2 heures de repos et s'apprêtait à reprendre les avirons pour une petite nav de nuit. Le vent est toujours orienté au nord avec une petite composante ouest et Jean Luc attend impatiemment qu'il tourne à l'est, ce qui n'est pas prévu avant demain midi.
Une autre rencontre avec une pirogue de pêcheurs s'est moins bien passée qu'hier, puisque l'embarcation en s'approchant un peu trop près a endommagé un aviron. Il est toujours fonctionnel mais il se délamine et Jean Luc pense qu'il ne tiendra pas toute la traversée. Il a heureusement 2 paires de rechange, mais c'est rageant d'en casser un aussi bêtement le 3ème jour de course. L'intention des pêcheurs était pourtant sympatique puisqu'ils venaient proposer du thon fraichement pêché.
D'autre par, sont gilet de sauvetage à gonflage automatique, qu'il atoujours sur lui s'est gonflé de manière intempestive. Jean luc à du le dégonfler et se mettre à la recherche de la petite capsule d'air comprimé de rechange, pour le rendre à nouveau opérationnel. Il a de toute manière embarqué un autre gilet en mousse celui ci.
Coté classement, Jean Luc est officiellement 8ème, mais 4 des concurrents qui sont devant lui ont été remorqués. Patrick Favre qui n'était pas localisé depuis le départ, est enfin apparu magiquement dans le classement... largement en tête et très décalé dans l'ouest. De quoi prendre un bel ascendant moral sur ses concurrents directs.
Didier.